VEF Blog

Je suis ravi de vous recevoir,
Dans ce lieu où mes textes que j’appelle quelquefois poésies.
Reflétent comme un miroir ma vie.
Où l’on peut retrouver, ma famille, mes amis,
Un village où je me suis posé il y a une petite décennie.

Je suis heureux, de vous faire découvrir,
Ce monde que je me suis forgé,
Qui mélange la réalité, et les rêves ne cessant de refleurir,
Derrière mes paupières mes mots souvent dessinent,
Des histoires dont la particularité,
Et de rimer, si cette façon d’écrire
Vous plait, je n’ai qu’un mot à vous dire,
Lire.

Si tu veux un sujet précis,
Pour un poéme écrit par mes soins.
Tu peux laisser un commentaire ici,

Mon stylo ne sera pas loin,
Telle est ma garantie.
Par avance merci.

POURQUOI L'AVOIR ?
La question peut se poser,
Je le conçois, car cela peut surprendre,
Même si on a du mal à l'entrevoir.
Pourtant, inutile de m'en défendre,
Je peux tout à fait te l'assurer.
Je l'ai, elle grandit,
Son développement se joue dans l'esprit,
Et il m'arrive de croire que la solution se trouve ici.
A d'autres moments, l'optimisme à l'air de reculer.
Equilibre, essence de l'envie,
Qui fait que l'écriture, méme si la syntaxe, peut se regarder,
Avec soupirs, curiosité,
Malgré ces accros de mauvais élève,
Poursuivra sans atteinte la culture de sa sève.
Ainsi, cette envie,
Fait vivre, un être qui est heureux de l'avoir,
Auxiliaire, prés de moi du matin au soir.


POURQUOI L'ETRE

Pour changer d'air,
Ou simplement m'évader ;
Écrire est devenu au fil des années,
Tout à fait complémentaire.
Écrire avec des fautes d'orthographe ou pas, pour moi rien de plus salutaire.
Azur, ou sous la pluie, en nuit ou en pleine journée,
Mes vocables se confondent avec les sentiments, complémentaires.
Abîmés par mes angoisses velléitaires,
Trahi des gros et ridicules projets,
Écrire me permet sans trop de mal d'avancer,
Un pas après l'autre, à une cadence respectée.

J'écris, pour un rien, recherchant un tout.
Je ne sais que cela, mais le hic ou mon choc,
C'est, mes fautes au fond, tout au bout.
Les idées claires sont écornées,
Par les orthographes, la règle de grammaire,
Dans ce mot faut- il e ou des l à la paire.
Tant d'égratignures, à mes pieds,
Ou lors de mes vers.
Poète tissant la corde pour lui-même se lier,
Etoile manquant de brillant dans son univers
Mais, ne soyez pas sectaires,
Car même si les lettres sont mal ordonnées,
Et même si l'emballage semble mal ajusté
Mon coeur lui est prés à se donner,
Alors amis, lecteurs, je vous demande simplement de lire,
En faisant abstraction de ce mauvais coté,
Ma syntaxe se fatigue dés que l'encre se met à écrire,
Je vous l'accorde, et je ne peux que poliment m'en excuser,
Mais c'est aprés tout, je suis comme je suis, mais dites-vous, qu'il y a sûrement pire,
Et puis si l'écorce déplaît, les émotions sont à garder,
Elles m'ont fait avancer, et à présent c'est pour vous que les voilà paraphées

On ne devient pas poète, lorsque sonne minuit,
Maquillage, déguisement sont sans attrait pour ce qui suit,
Il y a ce naturel qui ressort puisque craque mon drôle de verni.
La justesse s'il y en a une, échappe à ma logique endolorie,
Puisque, Je ne suis pas assez sûr des paroles que ma main écrit,
Sur le bord de la table sous la lune ou en plein midi.
Comme des vagues, elles surgissent, et moi je subis.
La tempête émotionnelle en évitant soigneusement mon lit.
Quelquefois une larme coule ma main l'essuie.
Ouvrier, dont la poésie recouvre mes chagrins dans l'étui
De mes déceptions, toutes couchées ici.
Il est tard, pour jouer avec les mots,
Qu'importe le sommeil m'a oublié du moins en cette nuit,
Où la tranquillité favorise l'encrier
Où toutes blessures comme sur un herbier,
S'écrivent avec précision sur le papier.
Oui en ce soir d'hiver, incertitude et autre silence,
N'ont pas l'utilité de la licence,
Je les connais, ce sont de bien gros fardeaux.
L'habitude ne fait pas d'une chaumière un château.
Alors que puis je tenter pour sortir du puits,
A part continuer tout ceci sans bruit.