VEF Blog

Je n’ai pas fait de grandes études,
Il y a eu le collège puis le lycée
Public puis privé.
Malgré ces deux facettes, je n’ai pas atteint des altitudes,
Pouvant me permettre de gravir des sommets.
Il faut dire qu’au lieu d’étudier,
J’écrivais des poésies, qui pour moi, avaient un intérêt
Capital, même si mon avenir se trouvait lié
Par les notes du carnet.
Avec cet état d’esprit, préservant la sensation
Plutôt que la réalisation,
Je connus le redoublement,
Et par conséquent l’abattement,
Suivi du découragement.
Mais ce trio ne changea nullement
La petite particularité,
Que je m’étais trouvée.
La façade c’était une scolarité difficile mais convenable.
Derrière, dans le volumineux cartable,
Pas mal de brouillons où mon talent s’épanouissait,
En dehors et dans les cours.
Hier, je me cachais,
Aujourd’hui, la différence est que mes poèmes s’étalent au grand jour.
La peur des heures de colle a disparu,
A présent mon plaisir serait qu’ils soient lus.

Je me suis laissée
Par lui envoûter…
Je n’aurai pas du,
Je suis abattue…

Pourquoi ai-je pensé
Qu’il allait m’aimer ?
Alors que jamais
Cela ne s’ferait…

Je me suis laissée
Peut-être emporter
Par ce sentiment
D’aimer simplement…

Ce n’était qu’un rêve
Qu’il faut que j’enlève
De toutes mes nuits,
Pour une nouvelle vie…

Mais je ne sais pas,
Tout au fond de moi,
J’aime être emportée
Par ces belles pensées…

Mais ce sentiment
Oh oui certainement…
Je me suis laissée…
Par lui m’emporter…

Le soleil brille, mais dans son cœur,
Des larmes coulent silencieusement.
Sous un sourire de façade, grises en ce moment,
Sont les heures.

Le soleil, brille, depuis quelques mois il est deux.

Cupidon a lâché sa flèche, ainsi le voilà amoureux.
Le charmant sentiment, change sa vie.
Une autre donne vient surgir, ainsi il se place entre sa valentine, ses amis.

Le soleil brille, avec quelques nuages ayant pris position,
Temps déroule ses jours, il ne veut pas envisager prendre partie.
Ses amis il y tient, de ce fabuleux amour il s’en nourrit.
Il aimerait que son petit monde soit réuni.

Le soleil brille, mais ses yeux sont quelquefois embrumés,
Il ne sait plus quoi dire, le cœur se perd dans ses pensées.
Amour, amitié,
Pourquoi, faudrait il trier.

Je t'aime, c'est ma plume qui te l'écrit
Et c'est mon coeur qui te le dit.

Seuls Sur Le Sable

Je respire l'odeur de ton corps chaleureux.
Tu m'embrasse et vois s'afficher un sourire radieux
Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière
Celle que m'offre tes yeux bleu clair.

L'élixir de ta bouche où l'amour se propage
Et de part en part enveloppe mon visage
Rempli à jamais mon coeur de douceur
Et vers toi mes désirs partent sans peur.

J'aime voir ton être frémir avec ton âme
Quand dans le mien ton corps s'enflamme
Et boire ton souffle comme un cadeau de la vie
Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie.

Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,
Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes seins,
Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux
Sur les lèvres de ton sommeil divin.