mes poemes
le 26-08-2008 20:18
CONTRE COUP D'AMOUR
L’impression est bizarre,
Entre oppression, tumulte.
Les jambes tremblent, la voix rentre dans placards.
Mes regrets se retrouvent dans mes erreurs.
Certains pourraient me gratifier de quelques insultes.
Je ne veux pas me dédouaner,
Pourtant vos regards que je suppose désapprobateurs,
Me remplissent de frayeur.
Impression, incontrôlée,
Et dû à mon coté homme, avec ses défauts et ses qualités.
J’espère, vous que j’aime, que vous me pardonnerez
le 26-08-2008 07:05
INDEVISIBLE CHAGRIN
Dans le silence de ma chambre immobile,
Je n'ai goût, ou la patience de croire,
A une amélioration infime ;
Dites moi alors pourquoi rester sur le fil,
Sur un bord de ce rêve, qui à chaque fois se défile
Pourquoi rester docile,
Faire comme si,
Le jour d’après,
Sera celui des avancées.
Je ne veux pas, je ne peux plus rester calme, assagi.
Le petit garçon a grandi,
Dommage mais avec le temps qui a respecté,
La levée ainsi crayonnée.
Le petit garçon a compris.
Que dans le silence de cette chambre immobile.
Résonnera un mot, comme unique presque indélébile,
Peu importe les efforts du présent, du passé,
Au fond de lui, il sera figé.
Dans le silence la chambre immobile,
Un adulte à peine ébauché a des larmes au coin des cils.
le 25-08-2008 18:56
PERDU
Je suis bon, moi ?
D’accord mais à quoi ?
En ouvrant plusieurs portes.
Je n’ai pas su trouver ma voie.
Alors depuis des années,
Mes illusions tombent, pluies de feuilles mortes.
Pourtant, je ne veux qu’une chose exister.
Des erreurs, il y a eu en pelletées.
Et l’attente du nouveau,
A épuisé mes chevaux.
J’étais au départ, rarement à l’arrivée.
Et à présent la fatigue se trouve dans mon passé,
Tandis que mon avenir est étranger.
Alors selon moi,
Votre espoir à mon encontre ne fait plus le poids.
Alors arrêtez de croire en ma qualité.
Plus une route sera tracée,
Moins la suivre sera aisée.
Je suis votre ami, alors il vous suffit de rester,
Tout simplement à mes cotés.
le 25-08-2008 07:12
TEMPS MAUSSADE , HUMEUR MARMELADE
Ciel gris,
Gris comme une mine.
Mine du crayon dessinant mes non dits.
Dit, dire à un autre que ma joie se flétrit.
Flétrie mon espérance, c’est mon ciel gris à moi.
Moi, croquant, juste pour m’évader.
M’évader des nuages bas.
Bas égal moral en baisse, nul besoin de savoir compter.
Compter sur mes doigts, jusqu’à dix, ma foi.
Fois si nombreuses que tous mes amis un à un se sont carapatés
Carapatés, partis par-là.
Par-là ou par ici.
Ici, ailleurs point de compromis.
Compromis inutile puisque mon délaissement demeure,
Comme le ciel gris.
le 23-08-2008 07:29
REALITEE DE LA REPONSE
J’aimerais quelquefois,
Etre plus agile, avec mes dix doigts
Pour avancer facilement, faire une voie.
Atteindre une cible, que j’aurais choisie.
J’aimerais tu peux me croire,
Changer quelques lignes de mon histoire.
Mais ce n’est pas facile, on ne peut se nourrir d’espoir,
Méme si ils font du bien, de la réalité il faut s’apercevoir.
J’aimerais m’endormir un soir,
Sans lendemain à entrevoir.
Les cartes ont été distribuées, il me faut voir.
J’aimerais tu peux me croire,
Faire parti de la norme, que l’on ne cesse de promouvoir.
Mais cela ne colle pas avec le miroir.
Rappel article
Commentaires
1. UNE AMIE le 26-08-2008 à 22:47:03
j espere que toi tu c aussi pardonne.......bisou bisou
2. SYLVIE ton bébé le 27-08-2008 à 13:38:53
mon coeur je t'aime.