http://poemes.vefblog.net/

  VEF Blog

mes poemes

le 13-09-2008 09:49

DORMIR,RECOMMENCER

Lumière se fait plus fragile
Mon moral renoue les fils,
Pour que mon futur matin ne ressemble pas à ce soir.
Le ciel est bleu,
J’angoisse beaucoup, un peu.
Une fragilité,


Sans trop de peine cernée.
Reprendre une trajectoire,
Qui semble au fil du temps effacée.
Je dois reprendre le goût, croire
A ma propre histoire.
La lumière s’estompe, se reposer,
Repartir avec une ambition déposée,
Une envie renouvelée.
Réussir, c’est agréable de rêver.

 


Commentaires

 

1. catherine.g  le 13-09-2008 à 14:29:30

peu importe le chemin,la volonté d arriver suffit a tout...........bonne journée

2. vivrenotreamour  le 14-09-2008 à 08:22:36  (site)

je te souhaite une
Hebergeur d'images de dimanche
remplie de douceur
bis patricia

3. angelove  le 11-02-2009 à 11:20:29  (site)

Bonjour, et heureux de vous retrouver après mon absence,
je suis en convalescence pour au moins
une mois et espère
aller mieux d'ici quelques jours.
Il y a des moments où
les choses tournent mieux
qu'on ne pouvait l'imaginer.
La convalescence est optimale,
à tous points de vue.
J'éprouve encore à certains
moments gènes et douleurs...
Il me faut apprendre,
toujours davantage, à être patient.
Ce qui me fait du bien
ces jours-ci,lire des blogs
auxquels je suis attaché.
Je vous remercie et je
vous présente mes excuses pour cette absence, et encore merci
de votre amitié

Bisous
Bonne semaine
ANGELOVE

 
 
 
le 12-09-2008 08:31

PEINE RETENUE

 

Je me retrouve ici, dans l'étroite rue,
Où toi et moi nous nous sommes connus.
C'était au mois de mai, de juin ....je ne me souviens plus.
En marchant sur ce bitume que mes semelles semblent déjà avoir entrevues.
Mon esprit, a du mal à avoir une logique dans les pages lues,
Comme si l'ouvrage que nous avions écris en commun, je et tu,
Possédait une reliure de tissu.
Déchirée par le vent d'une déception, ne s'arrêtant plus.
Tu es partie, pour des raisons que je n'ai pas retenues.
Le brave garçon, c'est retrouvé seul dans cette rue,
Au mois de mai, de juin je ne m'en souviens vraiment plus.

 


Commentaires

 

1. catherine.g  le 12-09-2008 à 08:13:39

tiens un peu lecture ce matin lol sympa...

 
 
 
le 10-09-2008 07:16

SOLITUDE

 

Ce sentiment, devenu une habitude,
Avec le temps, telle se fonde une certitude.
Petit à petit les envies possédant moins d’altitude.
Les ambitions se font discrètes, en parlant elles s’éludent.

Ce sentiment devenu régulier,
Fait d’un homme, un personnage particulier.
Il aimerait sortir, pourtant sa peur être convié.
Paradoxe, tourments difficiles à trier.

Ce sentiment progresse s’adapte aux changements,
Tissant des liens, dont les effets seront là durablement,
Le savoir est un magnifique complément.

Ce sentiment, ce nom doit être en équilibre,
Avec un verbe, agir pour que l’homme soit libre.
Retrouver cette force rendant la vitalité aux fibres.

 


Commentaires

 

1. catherine.g  le 11-09-2008 à 07:42:12

bonjour bruno, tu es en manque d inspiration ce matin????lol.......rien de beau a lire.....bé tanpis....bonne journée .bise

2. petitefleur-603  le 31-07-2012 à 13:04:31  (site)

je connais bien la sollitude,,il est très beau ce texte,,merci

 
 
 
le 09-09-2008 07:12

UN AVIS CENTRE

 

Ma vérité pure,
C’est que mon envie d’écriture.
Me permet de sortir d’un isolement,
Qui m’emprisonne discrètement.

Ma vérité dessinée,
Elle me poursuit ne voulant pas lâcher,
Une victime si bien adaptée.
Subissant ne voulant plus lutter

Ma vérité est ainsi,
Je la côtoie, je la subis.
Pourquoi pleurer

Ma vérité, peut changer,
Toute chose possède deux cotés.
De la volonté, il suffit ?

 


 
 
le 08-09-2008 07:26

ILOT PERSONNEL

Dans mon île, qui n’est pas déserte,
Mes messages n’ont pas besoin de bouteille,
Pour connaître l’alerte.
Un regard sur mon reflet,
La solitude reste en veille.
Dans mon île, point de radeau en construction.


Partir pour aller où, trop fragile demeure la position.
Le bricolage, et hors de propos,
L’amarrage ne va pas rompre de sitôt.
Dans mon île curieux naufragé,
Les messages avec régularités,
Ne cessent de s’accumuler.
Le ciel, bleu se trouve quelquefois embarrassé,
Par des nuages par mes angoisses transportés.
Dans mon île, qui n’est pas déserte, le soleil arrive,
Grâce à mes amis, empêchant la dérive.

 


Commentaires

 

1. rimesoudeprime  le 08-09-2008 à 13:55:25  (site)

si tu aimes les poémes fais passer l'adresse de mon blog.
merci d'avance.

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article