mes poemes
le 31-08-2008 07:47
ISOLEMENT
La solitude fait mal,
Surtout le soir,
Où de grandes et minuscules histoires,
Remontent, rendant le regard brillant,
Et le visage en retrait, à l’intérieur un peu bancal.
La solitude me rend défaillant,
Lors de ces nuits, où se sépare mon ciment intérieur,
Déprime, se fait réelle, presque banale.
La solitude devient déclic, bouffées en rafales.
Dans ces moments de troubles intenses, je me cache dans mes draps pales,
En espérant un lendemain plus rieur.
le 30-08-2008 21:37
OMBRE DE L’INTERIEUR
Les vacances d’été,
Vont bientôt commencer,
Et je vais rester
Dans cette chambre que je pourrai dessiner,
Comme à l’accoutumé.
Pour moi point de rivages ensoleillés,
Il me faudra me contenter,
Des cartes postales envoyées.
Non, ce n’est pas de la jalousie,
Trop grand, plus assez petit.
On pourrait comparer cela à une crainte à peine voilée.
La solitude est parfois difficile à porter.
Même pendant les vacances d’été.
le 29-08-2008 07:04
SIMPLEMENT TRISTE
Mon cœur se serre, ce soir,
Peut être un manque d’espoir,
Plus la force d’y croire.
Si je continue ma route sur ce trottoir,
Mes yeux ne vont pas tarder à pleuvoir.
Au moment précis, pas besoin de la paume d’arrosoir.
Les larmes ne seront pas dans l’inconnu, toujours le méme comptoir.
Elles glisseront, sans s'en apercevoir,
Sur des joues, puisque un cœur se serre ce soir
le 28-08-2008 07:01
ABANDON
Seul, il se sent.
Le soleil est haut pourtant.
Tout son être a froid.
Il vit, par habitude, comme à chaque fois.
Seul, ni peine, pas de joie.
Emotions égales, de chaque coté pas trop de poids.
Depuis combien de temps,
Il a perdu le goût, ce qui fait le sel de présent.
Lui méme ne le sait pas, il faut regarder l’imparfait,
Qui a pris la direction, drôle de relais.
Se battre, lutter pour dominer.
Plus de force, manque d’envie.
Demain, peut être rien n’est écrit,
L’abandon, est un état pas un précepte garanti
le 27-08-2008 07:08
ANGOISSE
Le cœur, se serre.
Sans trop savoir pourquoi.
Ma volonté devient fragile comme du verre.
Ce matin sans bouger je suis par terre.
Le cœur sans eau, il se noie.
Preuve l’inspiration se coupe.
Il faut que je remonte à la surface,
Avant de me retrouver dans la soute.
Le cœur, se fragilise,
Un froid l’englobe, drôle la bise.
Mon esprit, ne comprend pas,
La peur elle même s’atise.
Courage lui s’en va.
On peut se demander quand aura lieu une reprise.
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